La maladie de Lyme ou Borréliose de Lyme

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Comment la maladie est-elle transmise

La maladie de Lyme est transmise à travers une morsure de tique. Les tiques sont des insectes que l’on rencontre en forêt. Ils transmettent la Borrelia Burgdorferi, une bactérie spiralée de la famille des Borrelia. celle-ci est principalement en cause dans la maladie de Lyme. On répertorie dans le genre Borrelia d’autres souches, à l’origine d’infections différentes, dont certaines sont encore inconnues à ce jour. Ce qui rend l’approche de la maladie très complexe. 

Comment se comporte la Borrelia

Cette bactérie est extrêmement agressive. En effet, elle est capable de traverser toutes les barrières, notamment la barrière intestinale et la barrière hémato-encéphalique. La réparation de l’intestin aura donc une place primordiale dans la guérison de la maladie https://laurenceguillon-naturo.com/lhyperpermeabilite-intestinale/. La bactérie s’installe souvent sur des terrains fragilisés, montrant une immunité faible. L’environnement a également une grande influence sur la maladie. En effet, la présence de métaux lourds, nanoparticules ou encore pesticides aggrave la pathologie. La Borrelia Burgdorferi trouve refuge au cœur même des cellules, entrainant ainsi des manifestations de maladie auto-immune. En conséquence, le système immunitaire s’attaque à ses propres cellules, pensant qu’elles sont des intrus. Les moustiques, les poux ou les puces véhiculent également la bactérie. 

Une maladie émergente

On recense plusieurs milliers de cas en France chaque année, environ 54 600 personnes en 2016. On parle de maladie émergente car il y a de plus en plus de cas dénombrés. Sur la période 2009/2015, 29 000 nouveaux cas par an ont été comptés. La maladie met parfois plusieurs années à se développer. On dit qu’elle est dormante. En effet la bactérie se niche au cœur même des cellules et peut se réactiver à n’importe quel moment, notamment en cas de terrain affaibli. Elle est ainsi difficilement atteignable par les antibiotiques. 

La vigilance

Les tiques s’attaquent en général aux membres inférieurs, au visage ou membres supérieurs chez les enfants. C’est pourquoi, il est important de favoriser les vêtements couvrants et à manches longues, les pantalons et les chaussures fermées, lors de balades en forêt. La vigilance reste l’unique solution. À l’issu de la balade, inspecter toutes les parties du corps avec attention. De fait, les piqures sont souvent localisées sur des endroits invisibles comme le cuir chevelu ou des zones peu accessible à la vue. De plus, une piqure de tiques est quasiment indolore car celle-ci injecte en même temps des substances anesthésiantes. Les tiques sont relativement faciles à identifier, elles possèdent quatre paires de pattes et leur tête est privée d’yeux. Si elle a le ventre gonflé, cela signifie probablement qu’elle vous a déjà piqué et que celle-ci est pleine de votre sang.

Premiers réflexes

Ne jamais tenter de retirer une tique en se grattant. En effet, l’écraser accroît les risques de contamination. Ne pas utiliser non plus de l’éther qui ferait régurgiter la tique et amplifierait également les risques d’infection. Utiliser une pince à épiler ou un tire-tique en se plaçant le plus près possible de la peau, pour enlever une tique. Une fois la tique retirée, désinfecter l’emplacement avec un antiseptique sans alcool. Inspecter les jours suivants l’apparition éventuelle d’une auréole rouge. Désinfecter obligatoirement une piqure de tique car celle-ci est porteuse de nombreux agents pathogènes, bactéries, virus, parasites ou autres champignons.

Quels sont les symptômes de la maladie

Les symptômes de la maladie de Lyme sont nombreux et souvent invalidants. La maladie comporte trois phases avec des périodes asymptomatiques entre les phases. Une des complexités de cette maladie est que les symptômes sont non seulement multiples mais aussi similaires à d’autres maladies. Dans près de 90 % des cas, elle est traitée efficacement par une antibiothérapie de 2 à 4 semaines. https://fr.wikipedia.org/wiki/Maladie_de_Lyme

Première phase

La phase primaire ou phase aigüe s’étend de 3 à 30 jours après la piqure.  Une tache plus ou moins rouge apparait rapidement, pouvant ressembler à une piqure de moustique. Au bout de 3 jours cette tache peut atteindre un diamètre de 2 cm, et continuer de s’étendre jusqu’à 10 cm de diamètre, allant même dans certains cas jusqu’à 45 cm de diamètre. On nomme cette tache érythème chronique. Elle a la particularité de ne pas démanger et d’évoluer de façon centrifuge. Elle est parfois entourée d’un anneau rouge, appelé érythème en cocarde ou érythème chronique migrant. Cet érythème n’apparait que dans la moitié des cas.

Différents symptômes peuvent être associé à l’érythème, comme des maux de têtes, des syndromes pseudo-grippaux (frissons, fièvres, fatigue), des nausées, des douleurs articulaires ou musculaires, des ganglions lymphatiques enflés.

Les symptômes n’étant pas toujours décelables, la maladie passe parfois inaperçue. A ce stade, la maladie est facilement soignée par antibiothérapie. En l’absence de traitement, le malade court vers de graves complications lors de la seconde phase. Par contre des analyses biologiques réalisées trop tôt, ou des traitements antibiotiques pris au début de la maladie risquent d’entrainer des tests séronégatifs par manque d’anticorps.

Seconde phase

La seconde phase arrive quelques semaines ou quelques mois après la morsure, associée à des vertiges et une fatigue générale. C’est alors que de nouveaux symptômes voient le jour. Des taches rouges identiques à celles de la première phase ou des lésions cutanées apparaissent, associées à des douleurs articulaires touchant les articulations importantes comme les genoux, les épaules ou encore les coudes. Apparaissent également des troubles neurologiques, méningites ou paralysies faciales, des problèmes cognitifs avec difficultés de concentration et de mémorisation, des sautes d’humeur ou encore des troubles cardiaques avec palpitations ou syncopes.

Traiter la maladie à ce stade est essentiel, pour éviter le développement de la troisième phase qui apparait parfois des années plus tard et montre de graves conséquences.

Troisième phase

La maladie peut se révéler fatale à l’individu, plusieurs mois ou années après la morsure. Ainsi tous les symptômes évoqués ci-dessus s’aggravent progressivement pour devenir chroniques et inflammatoires. Tous les organes et les nerfs sont susceptibles d’être touchés. La maladie entraine des douleurs lancinantes, démangeaisons, picotements aux mains et aux pieds, troubles de la mémoire, fatigue intense des yeux, acouphènes… Ou encore, inflammation des articulations, hépatite, éruptions cutanées avec plaques et démangeaisons, problèmes circulatoires, hypersomnies, pathologies de la rate et du cœur… Les conséquences cardiaques sont très graves. 

Les symptômes deviennent invalidants et souvent confondus avec ceux d’autres maladies comme la sclérose en plaques, la spondylarthrite ankylosante ou certaines maladies auto-immunes.

Une des difficultés de cette maladie est la présence de co-infections, conduisant à un grand nombre de symptômes et à des douleurs diverses. Tout ceci conduit à des cas complexes, qui nécessitent non seulement des antibiotiques mais aussi des anti-infectieux, antidouleurs, anti-inflammatoires … On soignera donc toujours la maladie de Lyme et ses co-infections.

Par ailleurs, les symptômes de la maladie s’aggravent à l’exposition aux produits toxiques et métaux lourds. Ils provoquent ainsi des troubles du sommeil, troubles psychologiques, dysfonctionnements hormonaux et déficiences en vitamines et minéraux.

Résumons

La Borrelia est agressive et invasive. Elle s’installe au plus profond des tissus et touche n’importe quelle partie du corps. La bactérie s’associe à des micro-organismes pathogènes, impliquant ainsi des co-infections qui contribuent à amoindrir le malade. Elle contient de nombreuses souches dont un certain nombre ne sont toujours pas connus à ce jour. Les symptômes sont nombreux et facilement confondus avec ceux d’autres maladies. L’environnement et un organisme fatigué sont des facteurs aggravants et il n’est pas toujours aisé de savoir où en est la maladie étant donné les phases asymptomatiques parfois longues.

Par ailleurs, la Borrelia est une bactérie résistante. Celle-ci s’adapte ainsi aux traitements, qui peuvent fonctionner à un moment donné et ne plus donner de résultats par la suite. La Borrelia peut être activée à nouveau par un virus, entrainant par conséquent une modification régulière des protocoles. On imagine donc la difficulté à traiter la maladie, difficulté qui va être amplifiée par un dépistage encore incertain à ce jour en France.

Comment diagnostique-t-on la maladie

Le diagnostic biologique de la maladie de Lyme repose sur des sérologies recherchant des anticorps spécifiques (igM et igC), par prélèvement de sang ou de liquide céphalo-rachidien.

Le dépistage reste difficile. En effet, il existe des tests officiels fiables à 50 %, mais avec un nombre important de faux-négatifs. Ils sont vivement critiqués en France pour leur manque de fiabilité. Il existe actuellement deux protocoles :

Le test ELISA

La sensibilité du test est de 56 % et permet de détecter uniquement un quart des cas de maladie de Lyme. En cas de sérologie négative, une nouvelle sérologie est proposée 15 jours plus tard. 

Le test WESTERN BLOT

Il est effectué en complément du test Elisa, uniquement si celui-ci est positif (or Elisa indique trop fréquemment l’absence de maladie de Lyme). Il est non remboursé en France. Si le résultat est à nouveau positif le diagnostic de la maladie de Lyme est posé et un traitement est mis en place. Il donne des résultats beaucoup plus sensibles qu’Elisa. Cependant, Western Blot n’identifie qu’une seule forme de maladie de Lyme alors qu’il en existe environ 300 dans le monde http://www.maladie-lyme-traitements.com/analyses-seacuterologiques.html

Regarder à ce sujet l’enquête passionnante faite par Canal+ http://www.maladie-lyme-traitements.com/enquecircte-canal.html

Il existe un test sérologique fiable à 90 %, proposé par le laboratoire spécialisé DEDIMED, à Berlin en Allemagne (AK-18 AK-12 et PROFIL). Celui-ci permet d’éliminer 95 % de faux-négatifs et prend en compte les différentes co-infections liées à la Borréliose.

Il reste l’examen clinique, qui permet souvent au médecin de poser le diagnostic malgré une sérologie négative. Un questionnaire symptomatologique destiné à déterminer la probabilité d’être atteint de cette maladie, a été mis en place par le Dr Richard Horowitz spécialiste mondial de Lyme. https://www.associationlymesansfrontieres.com/questionnaire-lyme/

Quels traitements allopathiques

Si la tique est retirée durant les 36 premières heures, le risque d’être infecté n’est que de 1%. Par contre si la tique a eu le temps de se gorger de sang et qu’apparait un œdème, l’antibiothérapie sera alors obligatoire pour soigner l’infection. Les traitements et les dosages seront différents selon le temps passé depuis l’infection et la phase de la maladie. 

L’antibiothérapie est ainsi proposée par voie orale sur 3 à 6 semaines, et éventuellement renouvelée une fois.

La guérison est d’autant plus facile que la prise en charge est précoce.

Lorsque le patient est entré dans la deuxième phase, l’hospitalisation est souvent nécessaire et une antibiotérapie est effectuée par voie intraveineuse. L’inconvénient d’une antibiothérapie sur le long terme, est qu’elle favorise la dysbiose intestinale et par conséquent l’installation de champignons comme le candida albicans. En fonction des co-infections, le médecin proposera des anti-inflammatoires, antidouleurs, anti-infectieux ou/et des antimycosiques.

Comment peut-on accompagner la maladie avec la naturopathie

Lorsque la maladie devient chronique le traitement est beaucoup moins efficace et il y a souvent des rechutes à l’automne et au printemps. L’antibiothérapie risque d’aggraver à terme l’état du terrain du malade. En effet, elle détériore la flore intestinale et favorise le développement de bactéries tels que Candida Albicans (candidose très fréquente chez les malades de Lyme) ou Clostridium difficile.

Les traitements connaissent souvent des échecs. De fait, un certain nombre de bactéries s’ancrent dans l’organisme sous une forme « dormante ». Celle-ci est rendue possible par l’existence de structures de protection spécifiques appelées « biofilms ». Ces biofilms préservent les bactéries des agressions extérieures, dont les antibiotiques. Ce sont de véritables réservoirs de bactéries. Les traitements antibiotiques détruisent un certain nombre de cellules du biofilm, mais pas les formes dormantes. Par ailleurs, les biofilms des bactéries contiennent des métaux lourds, ce qui complique encore les choses. 

Les cellules dormantes sont détruites par des antiseptiques.

Le milieu acide favorise le développement des Borrelies et des Candida. Rétablir l’équilibre acido-basique de l’organisme est donc impératif.

Des objectifs multiples

Tout en évaluant l’état de l’organisme, il s’agit de :

  • Lutter contre l’inflammation, les bactéries, l’infection et les parasites 
  • Faire appel à des outils antiseptiques pour lutter contre les cellules dormantes
  • Réparer la muqueuse intestinale https://laurenceguillon-naturo.com/lhyperpermeabilite-intestinale/
  • Rétablir le microbiote, réparer les dégâts occasionnés par les antibiotiques et renforcer le système immunitaire
  • Détoxifier l’organisme pour rétablir le terrain, surtout le foie et les reins, attention une détox libère des toxines, et il risque d’y en avoir beaucoup compte tenu des nombreuses bactéries, la détox se fera donc en deuxième intention après avoir traité les bactéries, virus et mycoses.
  • Nettoyer l’organisme des métaux lourds
  • Combattre l’acidose
  • Reposer l’organisme souvent épuisé
  • Redonner de la vitalité et combler les carences, vitamines, minéraux, oligo-éléments, enzymes.

Conseils alimentaires

Supprimer toute alimentation industrielle et raffinée riches en sucres et mauvais gras, à indice glycémique élevé. Éliminer les céréales contenant du gluten et les produits laitiers pro-inflammatoires, les tubercules et féculents, les légumes secs. Bannir tous les aliments qui contiennent des moisissures en cas de candida. Réduire les graisses animales saturées et diminuer les oméga 6, inflammatoires.

Adopter une alimentation saine et biologique, anti-inflammatoire et anti-oxydante. Privilégier une alimentation qui protège le système nerveux, à base d’oméga 3, de vitamines du groupe B et de magnésium.

Consommer des légumes colorés, des crucifères, des fruits rouges, aux vertus anti-oxydantes et anti-inflammatoires, riches en fibres et en bons nutriments crus si l’organisme les supporte ou cuits à la vapeur douce. Choisir une alimentation alcalinisante pour basifier l’organisme.

Manger des aliments riches en fibres et en prébiotiques. Bien s’hydrater avec une eau peu minéralisée.

Astuce

Un bouillon gras maison cuits avec carcasses, cartilage, os et légumes aide à la réparation intestinale et apporte à l’organisme les nutriments dont il a besoin.

Compléments alimentaires

Détoxifier l’organisme

Drainer ou protéger le foie selon la vitalité, avec les plantes adaptées, radis noir, artichaut, romarin, desmodium, chardon-marie, neem … La cure du Docteur Clark est particulièrement indiquée.

Traiter les parasites, le Neem ou margousier est très efficace sur les parasites.

Si besoin soigner la candidose, donner des enzymes et chélater les métaux lourds.

Lutter contre les bactéries, avec des huiles essentielles aux vertus antibactériennes, comme l’origan, le tea tree, le niaouli, le ravintsare, le laurier noble, le clou de girofle ou la sarriette des montagnes. Attention à ne pas utiliser les huiles essentielles sans les conseils avisés d’un thérapeute, elles peuvent être dangereuses.

Chélater les métaux lourds à l’aide de chlorella, spiruline, ail des ours ou klamath

Réparer et lutter contre l’inflammation

Réparer la muqueuse intestinale avec de la glutamine, du curcuma, des baies de myrtille, de la réglisse, du charbon végétal, de l’aloe-vera, de l’argile …

Faire des cures de probiotiques et pré-biotiques pour réparer les effets néfastes de l’antibiothérapie et rétablir un bon microbiote.

Faire des mono-diètes aidera l’ensemble du système digestif à se reposer.

Pour diminuer l’inflammation, utiliser certaines plantes comme le cassis, le curcuma, le bouleau pubescent, l’échinacée, la bromélaïne issus de l’ananas ou l’harpagophytum.

Combler les carences notifiées sur le bilan sanguin

Proposer des vitamines A et E pour le maintien des défenses immunitaires, de la vitamine D, car dans la maladie de Lyme les récepteurs de la vitamine D sont inhibés, et de la vitamine K synthétisées normalement par les bactéries de la flore intestinale. Supplémenter en vitamines du groupe B, souvent carencées dans la maladie de Lyme, de la vitamine C ainsi que du Zinc et du CoQ10 antioxydants. Le potassium et les citrates aideront à l’équilibre acido-basique, de même que le magnésium et le calcium souvent déficitaires. En cas de problèmes métaboliques, le chrome sera intéressant, le temps de se déshabituer du sucre. L’argent colloïdal est très intéressant en cas de mycoses. Les malades de Lyme montrent souvent des carences enzymatiques, une supplémentation sera souvent utile. Enfin le sérum de quinton aidera à la reminéralisation.

Soutenir l’immunité et gérer le stress

L’échinacée, le shiitaké ou encore le cordyceps aident à renforcer l’immunité.

Le ginkgo Biloba, contribue à réguler la circulation cérébrale et améliorer les troubles de la mémoire. Les plantes adaptogènes vont aider l’organisme à s’adapter à la situation et diminuer le stress https://laurenceguillon-naturo.com/le-stress-et-ses-repercussions-sur-lorganisme/.

En cas de douleurs articulaires, la gaulthérie est préconisée en massage, diluée dans une huile végétale.

L’huile essentielle de sauge favorise le bien-être, elle est également anti-infectieuse.

Conseils en hygiène de vie

Réduire la consommation et l’exposition aux polluants ou toxiques environnementaux pour ne pas surcharger le foie, déjà fort sollicité pour gérer l’infection. Éviter au maximum les additifs dans l’alimentation, les produits d’hygiène et les cosmétiques. Conseiller le repos et un sommeil réparateur pour remonter la vitalité. Dès que possible, reprendre une activité physique adaptée et régulière comme la marche au grand air. Limiter au maximum tout environnement électromagnétique, wifi, portable, tablettes … qui entrainent une diminution de notre immunité.  Et surtout ne pas utiliser son portable en voiture ou en train, le mouvement accentuant l’émission des ondes.

Le jeûne

Le jeûne est une source de détoxification intéressante. En une semaine les toxines accumulées dans l’organisme sont évacuées. A faire sous la surveillance d’un professionnel de santé.

Les lavements de l’intestin

Deux pratiques sont utiles pour nettoyer les intestins de ses toxines et restaurer l’immunité, les lavements à faire soi-même, et plus puissant l’hydrothérapie du côlon pratiqué par un professionnel.

En conclusion

Dans le cas de la maladie de Lyme, il est essentiel de faire du cas par cas et de traiter les problèmes les uns après les autres. Il faudra tenir compte de la vitalité du patient et drainer uniquement quand cela est possible. Revitaliser en comblant les carences en vitamines, minéraux et oligo-éléments. Réparer l’intestin et renforcer le système immunitaire. Diminuer l’inflammation et les infections. Chaque consultant est différent et il est plus que jamais indispensable de réaliser une anamnèse précise et de bien analyser le terrain de la personne. L’alimentation est la clé comme dans toute maladie et sera le point de départ de toute guérison. Atteindre la guérison de la maladie de Lyme est très long. Il est donc important que le malade participe activement aux traitements, qu’il accepte et qu’il soit positif. L’état d’esprit est un facteur essentiel de la guérison.

Un livre enquête et témoignage, sortie prochaine

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